MES BOUQUINS
À l’instar des Trois Mousquetaires qui étaient quatre,
voici le quatrième volet de la trilogie des Macchabées.
Nous sommes en pays manchot.
Tous les 15 août, une messe est célébrée dans la chapelle en ruine de l’ancien prieuré, sous l'impulsion du châtelain du coin, qui préside aux destinées d'une association pour la sauvegarde de l'édifice.
Après la messe, un apéritif est offert par la commune. S'ensuit un repas organisé par l'association autour d'un cochon tourne-broché.
Le châtelain introduit son discours, une pierre se détache d’un chapiteau et le passe de vie à trépas.
L'enquête conclue rapidement à un accident.
Mais une tribu improbable, épicuriens disciples de Bacchus, est intriguée par la chute de cette pierre. Juste à cet endroit. Juste à ce moment là...
Accident ou piège mortel ?
"Passant si tu cherches ici une homélie de Bossuet, je t'invite au rayon suivant. Mais sache qu'en ces pages, les âmes confondues de Rabelais et de Frédéric Dard vagabondent dans le jardin de Michel Audiard." (Daniel B. lecteur indispensable)
(À QUATRE MAINS)
HUG WILQUIN ET DAN DEBARNOT
LES BISTROTS
DU CHAT PERCHÉ
D'HABITUDE, CE SONT LES DESSINS QUI ILLUSTRENT LES MOTS. QUAND HUG M'A PROPOSÉ DE TRAVAILLER À L'ENVERS, J'AI DIT OUI, AINSI NAQUIT SWYN, CHAT INSOLENT QUI DÉCOUVRE LE MONDE LOVÉ SUR L'ÉPAULE DE "LUI". MAIS PAS N'IMPORTE COMMENT! DANS DES BISTROTS QUE "LUI"CROQUE DANS SES CARNETS DE VOYAGES.
"BISTROT!... BISTROT!, C'EST LE PASSAGE ENTRE LE DEHORS DU DEDANS ET LE DEDANS DU DEHORS."
PATRON! UNE TOURNÉE!... POUR LA ROUTE!
MON PETIT DERNIER
(À DEUX MAINS)
C’est un bouquin ‘pataphysique…
Mais pour celui qui cherche, un parcours initiatique…
« C’est en s’enrichissant de nos différences, et en rassemblant ce qui est épars, que nous construirons notre cathédrale intérieure »
Suivent cet « avertissement », 7 contes :
« La Promenade, Le Voyage, Le Rêve, La Tournée, La Réunion, La Controverse, La Cadole et RIEN.
Mais un « rien » qui veut dire beaucoup de choses, puisque notre ami écrit aussi cela :
" Un conte, ça amuse et ça instruit. Un conte, c’est une porte ouverte vers l’imaginaire. Un conte peut être moral ou immoral. Un conte peut être philosophique. Un conte peut se vouloir initiatique. Un conte peut nous faire passer du quotidien au perturbé, du réel à l’irréel, du drame au merveilleux. Un conte peut être plaisant, satirique, facétieux, truculent. Un conte peut être onirique, voir révéler l’inconscient archaïque."
ALORS, IL ÉTAIT UNE FOIS…
Comme vous pouvez le voir ou plutôt le lire, notre ami est « en « verve » (comme d’habitude) et, toujours comme à son habitude, c’est toute sa personne qui respire dans les lignes de ses contes.. Altruiste, philosophe (mais pas ennuyeux du tout), drôle, imprévisible (pour ceux qui ne le connaissent pas), humaniste (profondément), poétique…
Un livre qui fait un peu plus que se lire, qui se lit littéralement…
Pascal Berthier
N°1
Dan DEBARNOT
LES ZÉLÉS
RÉÉDITIONS
FRANCS-MAÇONS AU PAYS NOIRS
150 ANS
1869- 2019
Comme les cicatrices de nos paysages révèlent le passé, de nouvelles archives sont venues enrichir ce livret qui vous invite à une balade dans 265 ans d'histoire.
Les 20 premières pages résument l'histoire de la
Franc-Maçonnerie de 1717 à la création de l'Atelier LES ZÉLÉS en 1869.
Au fil du texte, on découvre une Maçonnerie anticléricale, implantée dans un bassin industriel paternaliste mais aussi des Zélés recevant des Francs-Maçons
militaires Américains en 1919, le père de Danielle Mitterrand, le clown Achille Zavatta etc.
Les moments difficiles, l'occupation...
Un temple respectant scrupuleusement le nombre d'or, installé dans une maison jadis occupé par un alchimiste...
Un concentré de 120 pages pour découvrir la Franc-Maçonnerie.
"Du « neuf avec du vieux » ! Dan Debarnot a « ré-écrit » son premier ouvrage, « Les Zélés Francs-Maçons au pays Noir», suite à la découverte de nouvelles archives, dont par exemple, une lettre de l’évêque d’Autun au Ministre de l’Intérieur de 1874, ou une photo rarissime datant de 1917 réunissant des soldats Francs-Maçons anglais et allemands."
Pascal Berthier (montceau-news.com)
N°2
“Y a du Fallet, là d’dans ! Ouais mais y a pas qu’ça… Je dirais un peu de Dan Brown aussi par certains côtés… Moi j’dirais qu’y a aussi un p’tit goût de Bouin, celui de “La république de Gus”… Ouais, en attendant, on devrait arrêter d’en écrire des comme ça… Ca risquerait de rendre les lecteurs intelligents…
Trop dithyrambique, cette adaptation (libre) de la fameuse scène de la cuisine des “Tontons flingueurs” ? Lisez “On a trouvé des macchabées à la grange du Belge” et on en rediscutera. Il faut dire aussi que Vétérane Dan s’est surpassé ! Premier tome d’une série (annoncée) de trois, ce roman est un petit chef d’oeuvre, un pur régal. 240 et quelques pages aussi jubilatoires qu’instructives. Vous y “apprenez” même la recette des oeufs en meurette, les vrais – J’en connais une qu’a apprécié, c’est exactement celle qu’elle connait et pratique… Bref, un livre goûteux à souhait, à consommer sans modération, même si l’auteur fait beaucoup référence à de nobles produits du vignoble.
La trame de ce polar, qui a pour cadre notre région : la côte chalonnaise ? La découverte de squelettes sur le chantier de rénovation de la grange du belge : ami de Fernand et Désiré qui suivent le chantier quand ses occupations professionnelles le retiennent outre-Quiévrain. Francs maçons, passionnés d’histoire, d’oenologie, de bonne bouffe, de vie quoi… les deux compères vont aller de surprise(s) en surprise(s), et même de cadavres en cadavres, avec à chaque fois, des interrogations…
Le livre de Vétérane Dan ? Vous l’ouvrez et vous ne le refermez plus jusqu’à la dernière page. C’est p’têt le moment de penser aux oeufs en meurette : la sauce, ça se mijote…
Bon, c’est pas tout ça, on vous met l’eau à la bouche mais on ne va pas vous laisser sur votre faim quand même. On n’est pas comme ça, vous nous connaissez !.."
P.B.
N°3
"Vétérane Dan a encore frappé !
Et fort… Très fort…"
“Vétérane Dan”, alias notre ami : Daniel Debarnot a, comme d’habitude, tenu ses promesses ! Et quelles promesses ! Le second tome de sa saga des “Macchabées” est un pur régal !
Après « On a trouvé des macchabées à la grange du belge » que nous vous avons présenté le 12 juin 2013 – Le temps passe…- voici qu'”Eul vieux Dan” récidive ! Et de fort belle manière avec ce second opus où nous retrouvons les héros du premier, en l’occurrence : Fernand, Désiré, Jeannot, Walter, Francs-maçons, et Lucas Fontane, franc-maçon également mais surtout : capitaine de gendarmerie à Dijon !
Truculent (à la manière de Rabelais que l’on retrouve au hasard de certaines citations), “L’Dan” nous épate encore avec une intrigue digne d’un Simenon, la “glèbe accrochée aux sabots” en plus et un art consommé (image facile mais vous comprendrez mieux, pourquoi en le lisant !) de nous parler de bonne chère, de bons vins de nos contrées – même s’il “trahit” un peu la Bourgogne en faisant une “pub” éhontée pour le Beaujolais, le Gaillac et autres breuvages issus d’autres terroirs ! Magnanime : on lui pardonne ses “errances” car on verrait bien le Carmet de la grande époque “faire” un détour du côté de ces joyeux lurons ! Lui, le spécialiste du “Marathon de Paris” d’un genre un peu particulier auquel le marathonien de base refuserait de participer…
Pas de doute, il n’aurait pas fait tache (même de vin) au milieu de ces quatre là qui mènent l’enquête après que l’un d’eux : Jeannot, eut découvert un cadavre dans le jardin de leur loge : celle de “L’Amitié Républicaine” ! Un cadavre “mis en scène” avec deux serpents que la morale judéo-chrétienne nous interdit de décrire. Sachez seulement qu’elle symbolise la” luxure”. Tout un programme…
Mais revenons-en à l’essentiel : l’intrigue qui mène nos enquêteurs à traquer soir un groupuscule Gothique, soit un groupuscule anti “Francs-Maçons”… Une enquête on ne peut plus locale car concentrée autour de Toulon-Perrecy ! Comme dans le premier, l’auteur s’amuse à “persiller” son ouvrage de citations, d’allusions à la Franc-maçonnerie”, de symboles… Avec une délectation digne d’un Gargantua ! D’ailleurs, il n’est pas loin puisque moult passages ont pour cadre “Le Boeuf Hardi”, nouveau fief de nos compères ayant du, abandonner “La Trinquette” pour cause de “mal bouffe”. Là, nos trois amis ripaillent gaillardement de cochonnailles en tout genre et surtout le Vendredi Saint en tout bons mécréants, bouffeurs de curés, qu’ils sont ! Un poème, un régal on vous dit ! En fin gastronome, “Eul’vieux Dan” distilel (ne cherchez pas là un jeu de mot) des recettes d’accommodement du cochon dignes d’un “chef "…
Signé : Elisée Reclus
(Clin d’oeil à l’ami Dan)"
N°4
"Troisième et dernier “opus” de la trilogie de notre ami “Vétérane” Dan Debarnot ce roman est le digne “fils spirituel” (clin d’oeil à l’auteur) de ses nobles “ancêtres : à savoir : “on a trouvé des macchabées à la grange du Belge” et “On a trouvé des macchabées dans les Jardins de la Loge”. Deux romans policiers, que nous avons littéralement dévoré à leur sortie !
Et celui-ci est de la même veine soyez-en convaincus !
Sachez déjà qu’il vous livrera sa recette du vin chaud…Et cela au hasard d’une page de ce livre quasi gargantuesque et Rabelaisien à souhait.
“Aux malchanceux qui n’ont pas lu les deux premiers tomes” Ainsi commence le livre par le “casting” comme dans un film noir des années cinquantes :
Désiré Coperot, dit “Le Dés”, instit en retraite…
Fernand Paterski, vétérinaire de campagne, en retraite également..
Franz Kalz, Suisse de Bâle devenu millionnaire…
Victor, autrefois avocat d’affaire devenu tenancier de “L’Elisée Reclus” café libertaire comme le vrai était géographe mais tout aussi libertaire..
Walter Wemetz, le fameux Belge dont il était question plus haut en tant que propriétaire d’une grange, transformée en maison d’habitation…
Jeannot : un “septua” séducteur et franc-maçon…
Le Capitaine Fontane, commandant une Brigade de recherches précédemment évoqué dans les premiers ouvrages et également franc-maçon appartenant à la même loge de “Perfection”, rien moins !
Tout le livre est d’ailleurs, une suite de références symboliques à ce “mouvement” méconnu mais ô combien passionnant et riche d’un passé à la hauteur des “légendes” qui s’y rattachent. Les francs-maçons, dont la “doctrine” repose sur l’homme et son avenir, plutôt que sur un dieu quelconque, préfèrent invoquer celui qu’ils appellent “Le Grand Architecte de l’Univers”…
Ode…
Notre ami Dan a “construit” son ouvrage, ou plutôt son oeuvre à l’image de ses glorieux ancêtres qui ont bâti nos plus belles cathédrales et ce dès le xiième siècle !
Attention, ne vous méprenez pas il s’agit bel et bien d’un roman policier qui plus est, émaillé de rebondissements à n’en plus finir ou presque. Mais revenons-en à l’histoire qui commence par la découverte d’un cadavre, mais très récent, celui là, d’un dénommé Coperot qui s’avère être le cousin de Désiré. Cousin qui est conseiller “spécial” au ministère de la Défense plus ou moins en charge (plutôt plus que moins d’ailleurs) qui a disparu après avoir quitté son logement parisien pour rejoindre une maison de famille, située en contrebas du Mont-Saint-Vincent.
C’est à ce moment qu’entre en scène un nouveau personnage en la personne du Capucin une “référence” à la religion qui fait sourire qui connaît bien l’ami Dan, mais, bref passons et poursuivons l’histoire (du moins son début car il n’est pas question pour nous de vous en narrer la fin bien évidemment…). Par contre pas très loin du cadavre se trouve une Simca 1000 Rallye 3 qui a aussi un “rôle ” important dans la suite…
De rebondissements en agapes à “L’Elisée Reclus”, au café “du Tourneûbride” (tenu par un nommé “Rouletabille”), au “Boeuf Hardi” (autre lieu de perdition pour qui n’aime pas la cochonnaille et donc “porte mal son nom” ou, enfin, au “Café Républicain” rachetés par nos amis sous forme de coopérative abritant LEUR autre association baptisée “Le Nourrain, du Cinquième Jour” : le vendredi donc pour y “cochonnailler” à beurnanciaux comme on dit cheux nous !
La suite serait délectable à raconter, comme le chantait Brassens, dans “Gare au gorille” mais nous n’en dirons plus. Si ce n’est que le texte est bourré de références à des crus bien de chez nous, bien que l’ami Dan consente à parler de Champagne, voire même de Beaujolais et de Gaillac (le vin préféré de Jean Jaurès) et autres breuvages très alcoolisés tels que la gnôle, bien d’ch’eu nous aussi !
252 pages de pur bonheur !
Signé : Serge Rezvani
Evidemment un clin d’oeil à l’auteur mais nous vous recommandons d’aller chercher sur le web qui était ce personnage. Certain que vous serez surpris mais agréablement évidemment…"
Comme les 2 précédents, l’intrigue se déroule entre Loire et Saône. Plus exactement du côté du Mont-Saint-Vincent. Comme d’habitude, l’auteur a choisi de se « tremper » dans un lieu d’histoire, servi par des paysages d’exception… Qu’il aime à décrire.
Cette fois-ci, Compères et Gendarmes se voient confrontés à un drôle de mystère, qui les conduit à enquêter dans un « drôle » de milieu celui de ceux qu’on appelle, « transgenres », « transsexuels »…
Sujet traité avec humanisme et, comme d’habitude avec une pointe de truculence, car bonne chère, bons vins et bons mots de notre terroir, rythment les pages de ce livre.
N°5
L'HISTOIRE DE FRANCE DESSINÉCRITE
POUR MES PETITS ENFANTS
Le béotien que je suis pense encore et toujours que Français et Histoire de France sont les socles fondateurs, grâce auxquels on construira le citoyen de demain ! Mon Histoire de France à moi, c'est celle racontée par mes vieux Professeurs à l'École Normale. Une histoire contée, déclamée, théâtralisée, illustrée, par des citations, des poèmes, des chants d'époque, des anecdotes, du truculent, de l'interdit, du violent, du glorieux, du flamboyant, de l'abominable, de l'utopique, du « blood, toil, tears and sweat ». Une histoire qui reposent d'abord sur la chronologie. C'est « trivial » mais c'est ainsi, il ne me paraît pas anormal que le 29/02 précède le 01/03 .
"Et oui, l’ami Dan persiste et… signe (bien évidemment) avec ce nouvel ouvrage qui s’annonce d’anthologie.
Et quand il écrit dessinécrite, c’est parce qu’il a mis la “Joyeuse” a contribution…
Une Joyeuse dont on devine qu’au fil des pages, c’est elle qui va nous raconter cette histoire de France “revisitée sauce Dan”….
Mais évidemment toujours, avec une bonne once d’humour, de décalage, de refus des convenances, d’auto-dérision (parfois), de recul… Bref : le reflet de SA personnalité : attachante, complexe, décontenançante parfois, tendre (toujours avec ses amis) mais sans concession… Bref “el’vieux Dan” quoi.
Et ceux qui le connaissant (plus ou moins bien d’ailleurs) sauront de quoi l’on parle.
Note de la réadaction : Dan respecte, malgré tout, cette histoire de France même s’il en traite les grands événements ou dates à sa manière…"
"Un ouvrage très sérieux même si nous l’avons comparé en son temps avec celle de l’ineffable San Antonio, reprend, un à un, les grades périodes de l’histoire… de l’humanité toute entière, cette fois.La préhistoire, la naissance de l’agriculture, de l’écriture, l’Egypte, les Gaulois, “Le pinard romain”, la conquête des Gaiules,(donc César mais pas forcément avec Rosalie, clin d’oeil au cinéma et à la sublime Romy Schneider), De César à Trajan la saga des empereurs romains, une histoire des religions, les invasions barbares, les Mérovingiens puis les Carolingiens, les Capétiens, en passant par une histoire des mesures (sic mais à lire), la guerre de Cent Ans, la découverte de l’Amérique… Le “vieux dan” explore le temps (comme la caméra du même “nom”), bref, c’est un véritable festival qu’il nous offre et même un florilège de savoir(s) et surtout d’humour."
Pour la suite, MOI, CV, Commander...
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